5 Raisons pour ne jamais laisser tomber nos rêves
 

5 Raisons pour ne jamais laisser tomber nos rêves

 
21. 01. 2018. / / par Mladenka
 

« Si vous ne savez pas où vous allez, vous finirez probablement quelque part ailleurs » . – Laurence Peter

1) On va tous mourir

C’est un fait. On ne sait pas peut-être quand ni comment mais l’issue finale est connue et inévitable. Cela donne d’autant plus la valeur à notre passage terrestre. On ne peut pas dire que l’on ne le savait pas. C’est pas comme une « période d’essaie ». On mise donc sur les rêves comme une expression authentique de ce que nous sommes, car un autre moi, tel quel je le connais et reconnaît, ne viendra plus sur scène.

2) On ne saura jamais si on n’a pas essayé

Comment on saura ce que c’est de : marcher, danser, faire du vélo, nager, skier,, etc.  si on ne l’a pas fait ?  Si on s’était laissé décourager. La vie se mesure par nos vécus sensoriels, sinon alors elle ne sera que la survie.  La qualité d’une vie dépend de ces expériences qui nous rendent vivants, épanouis, harmonieux, connectés aux autres, remplis de beauté et de gratitude. Si je dois résumer très brièvement, tous les rêves des mes coachées - il s’agit, in fine, de ce que l’on vit « derrière «  une compétence, un changement, un accomplissement. Et cela est toujours mesurable par les ressentis agréables.

Donc comment on sait ce qu’un rêve nous apporterait, s’il reste au stade de rêve ?

Les sensations sont là pour être vécues, il n’y a pas de substitut à cela. Regarder un plat à la télé, n’est certainement pas la même chose que de le déguster dans son palais, dans sa bouche, par ses propres sens.

3) Il vaut mieux s’y approcher au moins, que de rester à une même place

Chaque jour peut être considéré comme un nouveau départ. Chaque midi peut être considéré comme un nouveau départ. Il n’y a pas de limites à un nouvel départ,  un changement. Si elle y est, c’est parce qu’elle est dans notre tête.

Si je commence à cuisiner aujourd’hui et je fais les expériences en ce sens, je me donne plus de chance de devenir une super cuisinière que de ne jamais commencer du tout.

Un rêve n’est pas une chose figée. Un rêve change et évolue, tout comme nous et tout comme toutes les choses vivantes de manière générale. Donc si on ne peut pas commencer à faire le piano à 50 ans (qui dit cela ?) aura-t-on d’autres rêves ?  Quelles sensations veut-on vivre quand on a un rêve ?  Dans quelle mesure on peut les vivre, même que ce soit qu’en partie ?

4) Chaque succès, si petit soit-il nous donne confiance de continuer

Quand nos parents nous encourageaient à continuer à marcher, grimper, faire du vélo, etc. nous avons sentis en nous profondément une force et une fierté. Cette sensation est transmissible à n’importe quel autre domaine. Si j’ai pu courir d’’abord 10 km et ensuite 21, et ensuite 43 – c’est que je sais que je peux. Je l’ai vécu et j’en ai la preuve. Apprendre une langue confirme  notre capacité à en apprendre une autre. C’est cette confiance en nous qui est VECUE qui nous donne des ailes d’apprentissages et de changement.

5) Les bases de l’apprentissage, ainsi que le courage, sont en nous

Compte tenu ce qui est évoqué plus haut, on a des bases de l’apprentissage en nous ! Et le courage. Il suffit de les activer. Evitez les cyniques ! Un cynique à la base était autrefois un rêveur qui a été frappé, dans son impatience, par une expérience qu’il a considérée négative et l’a sanctionnée de sa vie pour ne « plus jamais se faire avoir ». Il a fait le choix de vivre dans l’amère sécurité. Faites les choix vivifiants. Relativisez les « échecs » , cela n’existe pas, il existe que les expériences.

Pensez à ce postulat : On vous a choisi d’être en charge d’un personnage qui va vivre dans une réalité. Allez-vous vraiment l’encourager  à répéter les mêmes pas, et vivre exactement la même vie pendant 30-40 ans ? 

UNBOX YOURSELF et vivez vos rêves !

Bien à vous,

 

Mladenka Perroton

Life&Business Coach

www.mladenka-perroton.com